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Il y a quelques semaines, lors de sa conférence des développeurs, Google avait dévoilé son chatbot d’intelligence artificielle (IA) générative, Bard. Ce nouveau chatbot est la réponse de l’entreprise pour concurrencer ChatGPT d’OpenAI et Bing propulsé par GPT4 de Microsoft. Mais que propose-t-il et comment l’utiliser ?
Lorsque le chatbot d’intelligence artificielle d’OpenAI, ChatGPT, a été lancé fin 2022, il a rapidement gagné une audience massive, avec un million d’utilisateurs moins d’une semaine après sa sortie ! Cela n’est cependant pas surprenant, compte tenu de l’utilité du chatbot pour une grande variété de tâches, y compris en commercialisation numérique.
Pour répondre à la forte demande, plusieurs entreprises se sont lancées dans cette course folle contre l’intelligence artificielle. Google Bard, par exemple, est l’un des concurrents de ChatGPT et de la fonctionnalité de chat AI de Bing. Depuis le 10 mai 2023, Google Bard n’a plus de liste d’attente et est disponible dans plus de 180 pays à travers le monde.
Tout comme les autres chatbot IA, Bard est conçu pour être conversationnel. Concrètement, les utilisateurs interagissent avec lui en tapant une demande dans une zone de texte, puis l’IA – dans ce cas, Google Bard – produira une réponse en utilisant un ton conversationnel.
Par exemple, si vous demandez à Bard « pourquoi obtenir une certification webmarketing pour tout parcours professionnel« , il recherchera les informations avec lesquelles il a été formé et reviendra avec une réponse à vos questions. Mais attention à revérifier les informations fournies par Bard.
Pour l’instant, les prompts de Google Bard sont strictement basés sur du texte, mais cela va changer assez rapidement grâce aux capacités multimodales de PaLM 2. Cela signifie qu’à terme, vous pourrez fournir des images au chatbot et le chatbot pourra les analyser. À terme, le chatbot pourra générer de toutes nouvelles images IA grâce à une intégration Adobe Firefly.
En même temps que les nouveaux outils d’intelligence artificielle (IA) faisaient la une avec leurs idées innovantes et leurs capacités captivantes, la propre création de Google a attiré l’attention pour des raisons entièrement différentes.
Google Bard est censé être un chatbot d’assistance à l’IA. Il s’agit d’un outil d’IA génératif qui peut générer du texte pour réaliser de nombreuses missions : rédiger des lettres de motivation, des codes informatiques, des réponses aux questions et traductions détaillées. Comme ChatGPT, Bard utilise l’IA pour fournir des réponses conversationnelles de type humain lorsqu’un utilisateur le demande.
La performance de Bard, cependant, a été jugée insuffisante à plus d’une occasion. De ses débuts abyssaux à son lancement officiel, les utilisateurs ont eu du mal à faire en sorte que le chatbot fournisse des informations précises ou même suive une conversation sans se perdre.
Mais il existe d’autres grandes différences intéressantes entre Bard et les autres chatbots alimentés par l’IA. Bard peut accéder au moteur de recherche de Google, tandis que ChatGPT n’a pas d’accès à Internet et n’a été formé que sur les informations disponibles jusqu’en 2021.
Google Bard est donc en concurrence plus directe avec Bing Chat, le nouveau moteur de recherche Bing alimenté par l’IA de Microsoft, qui utilise GPT-4.
Inutile de vous inscrire sur une liste d’attente pour essayer le chatbot AI de Google, Bard ! Vous pouvez l’utiliser dans n’importe quel navigateur, tel que Chrome, Safari, Edge ou Firefox. Cependant, vous devrez vous connecter avec un compte Google pour y accéder.
À première vue, Google Bard fournit une interface simple avec une fenêtre de chat et une zone pour taper vos prompts, tout comme ChatGPT ou AI Chat de Bing. Vous pouvez lui poser des questions ou lui donner des instructions. Vous pouvez même appuyer sur le bouton du microphone pour énoncer votre question ou vos instructions plutôt que de les saisir.
Selon un rapport de L’informationOpenAI, la société à l’origine de ChatGPT, envisage de créer une place de marché pour les modèles d’IA.
Cette « boutique d’applications » d’IA permettrait aux entreprises d’acheter et de vendre des bots personnalisés adaptés à des besoins spécifiques.
L’objectif est de rendre les chatbots avancés plus utiles dans tous les secteurs.
Les entreprises pourraient utiliser ces chatbots à diverses fins, comme fournir des réponses rapides à des questions spécifiques à l’industrie en utilisant des données actuelles.
Selon les rumeurs, le marché d’OpenAI pourrait concurrencer ses partenaires actuels comme Salesforce et Microsoft, qui exploitent leurs propres magasins pour vendre des chatbots d’IA basés sur la technologie d’OpenAI.
Cependant, l’ouverture de son propre marché pourrait permettre à OpenAI de distribuer ses outils à beaucoup plus de clients et d’obtenir un avantage sur les sociétés d’intelligence artificielle concurrentes Anthropic et Cohere.
Cette décision met en évidence les tensions qui peuvent émerger entre les partenaires technologiques lorsqu’ils deviennent concurrents.
Alors qu’OpenAI s’appuie actuellement sur des entreprises comme Salesforce et Microsoft pour étendre sa portée, la startup peut se sentir prête à vendre ses outils directement et à conserver plus de bénéfices.
The Information rapporte que le PDG Sam Altman a informé les développeurs des plans pour un marché de l’IA, mais la société affirme qu’il n’y a aucun effort actif pour en créer un.
Même au stade conceptuel, le marché proposé par OpenAI a suscité l’intérêt de deux sociétés – Aquant et Khan Academy.
Aquant, qui fournit un logiciel pour guider les clients dans les réparations d’appareils, a modifié le chatbot ChatGPT d’OpenAI en utilisant les données des tickets d’assistance client et les commentaires des employés.
Désormais, Aquant propose ce chatbot personnalisé sur Salesforce AppExchange et ServiceNow Store et envisagerait une place de marché OpenAI pour toucher encore plus de clients.
Khan Academy, une organisation à but non lucratif axée sur l’éducation, a également développé sa propre version de ChatGPT appelée Khanmigo pour agir en tant que tuteur en IA pour les enseignants et les étudiants.
La Khan Academy a réglé le chatbot en utilisant le matériel de sa préparation aux tests et de ses offres académiques et a ajouté des filtres pour empêcher la tricherie et garantir des réponses appropriées en classe.
L’organisation cherche des moyens de distribuer Khanmigo plus largement, potentiellement via un magasin OpenAI.
Plus tôt cette année, OpenAI a lancé Plugins ChatGPTpermettant aux utilisateurs d’interagir avec des sites Web tels que OpenTable, Shopify ou Expedia.
Cependant, ces plugins ne sont pas devenus populaires, soulignant la nécessité de poursuivre le développement de produits et les études de marché.
Pour qu’un magasin d’applications d’IA trouve un écho auprès des entreprises clientes, OpenAI doit fournir une solution pragmatiquement utile pour des secteurs tels que la vente au détail, la finance, la santé et autres.
Les offres de l’App Store doivent gérer des tâches critiques, s’intégrer aux systèmes existants des entreprises et générer une valeur commerciale pour justifier l’achat par rapport aux alternatives établies.
OpenAI pourrait être tenté par une opportunité de contrôler la distribution et la commercialisation de sa technologie.
Cependant, le lancement prématuré d’un marché de l’IA à grande échelle pourrait éparpiller l’entreprise et aliéner des partenaires, mettant en péril des relations clés.
Pour une entreprise qui définit sa place sur le marché, l’amélioration de son offre de base peut être la décision la plus intelligente avant de créer un nouveau canal de distribution.
Image en vedette : Vlyaks/Shutterstock
Lors d’une conférence sur la publicité cette semaine, Meta a dévoilé de nouvelles fonctionnalités innovantes pour Reels, son produit vidéo court.
Les entreprises pourront bientôt diffuser des publicités entre Reels sur Instagram, une option auparavant exclusive à Facebook.
Les publicités sont conçues pour se fondre dans l’expérience Reels afin de ne pas interrompre l’utilisateur ou de ne pas se sentir à sa place.
De plus, Meta apporte ses annonces de promotion d’applications à Reels, ce qui peut aider les entreprises à obtenir plus de téléchargements.
La musique jouant un rôle énorme dans l’engagement vidéo sur les réseaux sociaux, Meta teste l’IA pour optimiser l’audio dans les publicités Reels à image unique.
Meta prévoit de rendre ces solutions plus largement disponibles dans les semaines à venir. Voici plus à quoi s’attendre.
Le contenu vidéo dans les médias sociaux a récemment explosé, Meta révélant que plus de la moitié du temps des utilisateurs sur Facebook et Instagram est consacré à regarder du contenu vidéo.
Reels a connu une croissance significative, atteignant plus de 2 milliards de partages quotidiens, ce qui a doublé au cours des six derniers mois.
Pour en tirer parti, Meta étend les publicités Reels à Instagram.
Cela permet aux marques de puiser dans des audiences massives à l’aide de Reels, offrant une nouvelle avenue pour atteindre des clients potentiels.
Meta active les annonces de promotion d’applications, anciennement appelées annonces d’installation d’applications, pour Facebook et Instagram Reels.
Les annonces de promotion d’applications permettent aux entreprises d’étendre leur portée et d’augmenter leur base d’utilisateurs.
Compte tenu des nombreuses applications disponibles sur les téléphones mobiles, les entreprises peuvent avoir du mal à gagner en visibilité. L’intégration d’annonces de promotion d’applications sur Reels peut aider les annonceurs à réduire l’encombrement et à se connecter avec des publics ouverts aux nouvelles idées.
Meta a constaté que les publicités avec de la musique et une voix off ont tendance à obtenir une meilleure réaction de 15 % des téléspectateurs que celles sans son.
Reconnaissant l’impact de la musique sur l’engagement des spectateurs, Meta teste l’optimisation de la musique pour ses annonces Reels à image unique.
En offrant un accès gratuit à de la musique de haute qualité via la Meta Sound Collection, les annonceurs peuvent trouver et incorporer de l’audio dans leurs publicités Reels pendant le processus de création.
L’amélioration des publicités Reels à image unique avec de la musique donnera probablement de bons résultats si elle est bien mise en œuvre.
Meta améliore ses annonces Reels de plusieurs manières pour offrir davantage d’opportunités commerciales.
Notamment, Meta teste l’utilisation de l’IA pour optimiser la musique des annonces Reels à image unique.
Bientôt, les annonceurs pourront diffuser des publicités entre Reels sur Instagram, s’étendant au-delà de Facebook.
Les entreprises qui cherchent à atteindre leur public par le biais de vidéos courtes devraient envisager d’explorer ces outils alimentés par l’IA lorsqu’ils sont disponibles.
Image en vedette : Sergei Elaguine/Shutterstock
Source: Méta
Pour la première fois, Kantar Worldpanel a réalisé, en collaboration avec Havas Media Network, une analyse approfondie de 52 marques pendant 8 ans pour quantifier et comprendre l’impact des baisses d’investissements publicitaires sur les KPIs clefs de la performance.
Souvenir publicitaire, considération, sommes dépensées et pénétration… Tous les indicateurs sont touchés …
Logiquement, le souvenir publicitaire est significativement affecté pour l’ensemble des marques étudiées. Il faut compter 6 semaines en moyenne pour que le recul des investissements media le pénalise. Dans la moitié des cas, cet impact est immédiat.
La considération suit rapidement avec 87% des marques trackées touchées. Sa décroissance se concrétise au terme de 7 semaines avec un impact immédiat dans 45% des cas.
Le chiffre d’affaires n’est pas épargné. Même si la sanction n’est pas immédiate (16 semaines en moyenne), elle touche près de 3 marques sur 4 dont 21% immédiatement. Une baisse de 10% du budget media brut réduira les sommes dépensées de 1,3% en moyenne !
Quant à la pénétrationelle affichera un recul dans près de 70% des cas au terme de 17 semaines. Les marques les plus touchées perdent en moyenne 100 000 acheteurs pour 10% d’investissement en moins.
« Toutes les marques qui diminuent leurs investissements media sont à risque! Près de 9 sur 10 sont moins considérées, près des 3 sur 4 subissent un impact sur leur CA et 2 sur 3 voient leur pénétration reculer. Elles sont donc bel et bien en danger. »
Ce rapport en liste six avec pour chacune une démonstration qui la confirme ou non.
Voici la première:
“Ma marque a l’habitude d’investir beaucoup, elle est naturellement plus préservée quand je réduis”
Vrai…et faux !
Effectivement, pour les gros investisseurs media (investissement supérieur ou égal à 10M d’Euros bruts), le recrutement diminue pour moins de la moitié lorsqu’ils choisissent de désinvestir (indice 67 vs la moyenne) mais lorsqu’ils sont touchés, l’impact est significativement plus marqué quel que soit l’indicateur étudié !
Oui, le risque d’être impacté est plus faible mais quand le cas se présente, les conséquences sont plus problématiques.
Cette étude répond également aux questions suivantes :
Mais au final, une idée générale se dégage sans ambiguïté de cette étude novatrice :
« Quelle que soit sa situation ou sa stratégie de désinvestissement, une marque se met réellement en danger quand elle réduit son soutien publicitaire. Il est maintenant possible d’approcher concrètement ce niveau de risque. »
Méthodologie
Une méthodologie en 3 étapes qui s’appuie sur une modélisation exclusive développée par Kantar – Division Worldpanel
Pige des investissements Publicitaires Plurimedia – Kantar Media
Tracking continu de la perception des marques – Kantar – Division Worldpanel Prométhée – Ces données sont issues d’un panel et ont donc une valeur de probabilité.
Tracking continu des achats – Kantar – Division Worldpanel – Ces données sont issues d’un échantillon de 20 000 foyers panélistes de Worldpanel. Elles sont calculées sur un Univers de produits PGC + FRAIS LS = Produits de Grande Consommation et Frais Libre-Service (Alimentaire, Liquides, Hygiène beauté, Entretien).
Ces données sont issues d’un panel et ont donc une valeur de probabilité.
“Il n’y a pas de cas d’utilisation durable pour l’IA maléfique.”
C’est ainsi que le Dr Rob Walker, un intelligence artificielle expert et vice-président de la prise de décision et de l’analyse de Pega, a résumé une table ronde sur l’IA malveillante lors de la conférence PegaWorld iNspire la semaine dernière.
Il avait expliqué la différence entre les algorithmes opaques et transparents. À une extrémité du spectre de l’IA, les algorithmes opaques fonctionnent à grande vitesse et avec des niveaux de précision élevés. Le problème est que nous ne pouvons pas expliquer comment ils font ce qu’ils font. C’est suffisant pour les rendre plus ou moins inutiles pour les tâches qui nécessitent une responsabilisation – prendre des décisions sur les demandes d’hypothèque ou de prêt, par exemple.
Les algorithmes transparents, en revanche, ont la vertu d’explicabilité. Ils sont juste moins fiables. C’est comme un choix, dit-il, entre avoir un traitement médical prescrit par un médecin qui peut vous l’expliquer, ou une machine qui ne peut pas l’expliquer mais qui a plus de chances d’avoir raison. C’est un choix — et pas facile.
Mais en fin de compte, confier toutes les décisions aux outils d’IA les plus puissants, avec le risque qu’ils deviennent voyous, n’est en effet pas durable.
Lors de la même conférence, le directeur technique de Pega, Don Schuerman, a présenté une vision du «pilote automatique», une solution alimentée par l’IA pour aider à créer l’entreprise autonome. “J’espère que nous en aurons une certaine variation en 2024. Je pense que cela va demander de la gouvernance et du contrôle.” En effet, ce sera le cas : peu d’entre nous, par exemple, veulent monter à bord d’un avion qui n’a qu’un pilote automatique et aucun humain dans la boucle.
Tenir un humain au courant était un mantra constant lors de la conférence, soulignant l’engagement de Pega envers une IA responsable. Dès 2017, il a lancé le « T-Switch » de Pega, permettant aux entreprises de composer le niveau de transparence de haut en bas sur une échelle mobile pour chaque modèle d’IA. « Par exemple, il est peu risqué d’utiliser un modèle d’apprentissage en profondeur opaque qui classe les images marketing. À l’inverse, les banques soumises à des réglementations strictes en matière de pratiques de prêt équitables exigent des modèles d’IA hautement transparents pour démontrer une répartition équitable des offres de prêt », Pega a expliqué.
L’IA générative, cependant, apporte un tout autre niveau de risque, notamment pour les fonctions en contact avec les clients comme le marketing. En particulier, il se fiche vraiment de dire la vérité ou d’inventer (« halluciner »). Au cas où ce ne serait pas clair, ces risques surviennent avec toute mise en œuvre de l’IA générative et ne sont spécifiques à aucune solution Pega.
“Il prédit ce qui est le plus probable et plausible et ce que nous voulons entendre”, a expliqué Peter van der Putten, directeur du Pega AI Lab. Mais cela explique aussi le problème. « Cela pourrait dire quelque chose, puis être extrêmement doué pour fournir des explications plausibles ; cela peut aussi revenir en arrière. En d’autres termes, il peut revenir avec une réponse différente – peut-être meilleure – s’il définit la même tâche deux fois.
Juste avant PegaWorld, Pega a annoncé 20 «boosters» alimentés par l’IA générative, y compris des chatbots IA de génération, des flux de travail automatisés et l’optimisation du contenu. “Si vous regardez attentivement ce que nous avons lancé”, a déclaré Putten, “presque tous ont un humain dans la boucle. Rendement élevé, faible risque. C’est l’avantage de créer des produits axés sur l’IA gen plutôt que de donner aux gens l’accès à la technologie générique d’IA générative.
Pega GenAI fournit alors des outils pour réaliser des tâches spécifiques (avec de grands modèles de langage s’exécutant en arrière-plan) ; ce n’est pas simplement une toile vide attendant des invites humaines.
Pour quelque chose comme un chatbot assisté par l’IA de génération, le besoin d’un humain dans la boucle est assez clair. “Je pense qu’il faudra un certain temps avant que de nombreuses entreprises se sentent à l’aise de mettre un chatbot de grand modèle de langage directement devant leurs clients”, a déclaré Schuerman. “Tout ce que l’IA générative génère – je veux qu’un humain l’examine avant de le mettre devant le client.”
Mais mettre un humain dans la boucle soulève des questions sur l’évolutivité.
Finbar Hage, vice-président du numérique de la société néerlandaise de boulangerie et de services financiers Rabobank, a déclaré lors de la conférence que le Customer Decision Hub de Pega traite pour eux 1,5 milliard d’interactions par an, soit environ quatre millions par jour. Le travail du hub consiste à générer des recommandations sur la meilleure action suivante, en créant un parcours client en temps réel et à la volée. La prochaine meilleure action pourrait être, par exemple, d’envoyer un e-mail personnalisé – et gen AI offre la possibilité de créer de tels e-mails presque instantanément.
Chacun de ces e-mails, il est suggéré, doit être approuvé par un humain avant d’être envoyé. Combien d’e-mails cela représente-t-il ? Combien de temps les spécialistes du marketing devront-ils allouer à l’approbation du contenu généré par l’IA ?
Peut-être plus gérable est l’utilisation de Pega GenAI pour créer des documents commerciaux complexes dans un large éventail de langues. Dans son discours, le chef de produit Kerim Akgonul a démontré l’utilisation de l’IA pour créer un flux de travail complexe, en turc, pour une demande de prêt. Le modèle a pris en compte les règles commerciales mondiales ainsi que la réglementation locale.
En regardant le résultat, Akgonul, qui est lui-même turc, a pu voir quelques erreurs. C’est pourquoi l’humain est nécessaire; mais il ne fait aucun doute que la génération de l’IA plus l’approbation humaine semblait beaucoup plus rapide que la génération humaine suivie de l’approbation humaine ne pourrait jamais l’être.
C’est ce que j’ai entendu de chaque dirigeant de Pega que j’ai interrogé à ce sujet. Oui, l’approbation prendra du temps et les entreprises devront mettre en place une gouvernance — des « meilleures pratiques prescriptives », selon l’expression de Schuerman — pour s’assurer que le bon niveau de gouvernance est appliqué, en fonction des niveaux de risque.
Pour le marketing, dans son rôle essentiellement orienté client, ce niveau de gouvernance est susceptible d’être élevé. L’espoir et la promesse, cependant, sont que l’automatisation basée sur l’IA permettra toujours de faire mieux et plus rapidement les choses.
Alors que l’Assemblée Nationale vient d’adopter un projet de loi visant à réglementer les activités des influenceurs, les zOOms de l’Observatoire Cetelem, accompagnés par Harris Interactive, s’intéressent dans ce deuxième volet d’enquête de la thématique « Les réseaux sociaux, pour le meilleur et pour le pire » à l’image qu’ont les Français des influenceurs et à leurs impacts sur la société et les modes de consommation.
Une courte majorité des Français (52%) estime que les réseaux sociaux représentent un reflet fidèle de la société.
Un regard mitigé qui se retrouve chez la plupart des générations. Aussi, même chez ceux qui se rendent sur les réseaux sociaux quotidiennement, pas moins de 40% trouvent que ceux-ci reflètent mal la société française en général.
Pour les Français, les réseaux sociaux ne représenteraient donc pas la « vraie vie ».
En revanche, 6 Français sur 10 (61%) considèrent que les contenus présents sur les réseaux sociaux exercent une forte influence sur la société. Un avis qui est encore plus partagé par les jeunes de 15-24 ans (71%).
Selon les Français, l’influence des réseaux s’exerce autant sur les goûts et modes de consommation (61%) de la population que sur les idées et opinions politiques (59%).
Plus de 4 Français sur 10 (44%) ont le sentiment de faire partie d’une « communauté d’intérêt » sur les réseaux sociaux.
Pourtant, leur opinion sur ces communautés est paradoxale : si pour 2/3 d’entre eux (66%) celles-ci permettent des rencontres avec des personnes partageant les mêmes centres d’intérêt, seuls 45% estiment que ces rencontres peuvent déboucher sur de réelles amitiés.
Et ils sont 57% à affirmer qu’elles peuvent avoir pour effet d’isoler les personnes dans leurs propres idées et représentations.
Les réseaux sociaux et les communautés d’intérêt qui les animent occupent donc une position mixte aux yeux des Français, entre ouverture sur le monde et repli sur soi.
Alors que les activités des influenceurs devraient être prochainement réglementées, ces derniers pâtissent d’une image défavorable auprès des Français : 70% déclarent en avoir une mauvaise imageet seuls 20% en ont une bonne image.
Seuls les 15-24 ans manifestent une opinion plus souvent positive (50%) que négative (42%) à l’égard des influenceurs.
Pour les Français, le succès d’un influenceur ou d’une influenceuse tient d’abord à sa façon de se mettre en scène (47%), un élément qui devance le contenu publié en lui-même (35%), quasiment au même niveau que la beauté physique (34%).
Par ailleurs, être influenceur est perçu comme un métier à la fois rémunérateur (81%) et, dans une moindre mesure, relativement facile à exercer (59%).
Cette activité semble, néanmoins pour eux, difficilement apporter de la stabilité financière (34% seulement) et se positionne au final assez loin de leurs aspirations : seule une minorité d’entre eux (21%) auraient aimé faire ce métier, et ils sont encore moins nombreux à l’envisager pour leurs enfants (16%).
L’âge est encore ici déterminant dans la manière de voir le métier d’influenceur : ainsi, 50% des 15-24 ans indiquent une appétence pour ce statut. Ils sont 36% chez les 25-24 ans et…4% chez les 65 ans et plus.
Les Français affichent par ailleurs une confiance limitée dans les recommandations des influenceurs, qu’elles soient inscrites dans le cadre d’un partenariat avec une marque (30% de confiance) ou non (36%).
Une méfiance qui ne rime pas pour autant avec indifférence puisque 1 Français sur 3 (34%) indique avoir découvert un produit par le biais d’un influenceur et 24% en avoir déjà acheté un après l’avoir vu dans une publication.
Lorsqu’ils souhaitent acheter un produit sur Internet, les Français sont cependant attentifs aux avis des autres consommateurs disponibles sur les réseaux : 73% d’entre eux consultent les avis sur les produits de la marque, dont 42% qui en tiennent compte.
La défiance affichée des Français à l’égard des influenceurs ne les empêche pas de consulter leurs contenusnotamment pour préparer leur repas : 47% de la population indique avoir déjà consulté sur les réseaux sociaux des contenus liés à la cuisine.
Les autres domaines ne sont pas en reste : culture (43%), voyages (39%), sport et fitness (38%), sorties (35%) ou encore décoration (35%).
Concernant les publicités visibles sur les réseaux sociaux, elles apparaissent très largement comme une nuisance (78%)voire comme une « forte nuisance » (31%).
Ces publicités représentent la plupart du temps une gêne aux yeux d’une majorité d’utilisateurs (64%), qui estiment qu’elles correspondent rarement ou jamais à leurs goûts personnels (73%), ou à leurs besoins du moment (76%). Seuls 20% avouent qu’elles leur font envie et les incitent à dépenser leur argent.
Face à cette nuisance, plusieurs stratégies sont employées : certains cherchent à éviter les publicités en les masquant (44%), quand d’autres les laissent passer sans y prêter attention (46%). Seuls 10% indiquent les regarder. Des chiffres déclaratifs qui sous-estiment probablement l’impact réel de ces publicités sur leur public.
Le phénomène de « désinfluence », le fait de déconseiller certains produits peu responsables, est jugé de manière ambivalente par les Français.
Si pour 75% d’entre eux, la désinfluence est une nouvelle forme d’influence, 64% y voient un contre-pouvoir aux influenceurs et 63% considèrent que c’est une pratique vertueuse dans le contexte actuel d’inflation et de surconsommation (63%).
« Bien qu’un climat de méfiance se soit installé en France vis-à-vis des influenceurs, ces derniers bénéficient d’une certaine aura auprès des plus jeunes et impactent réellement les choix de consommation aujourd’hui.
Conscients du pouvoir d’influence des réseaux sociaux et des risques liés à leur utilisation, la Gen Z éprouve un attrait pour le métier d’influenceur qui pourrait voir son image redorée avec le vieillissement de la population ».
commente Flavien Neuvy, Directeur de l’Observatoire Cetelem
Méthodologie :
Enquête réalisée par Harris Interactive en ligne les 25 et 26 mai 2023. Échantillon de 1 010 personnes représentatif de la population française âgée de 15 ans et plus. Méthode des quotas et redressement appliqués aux variables suivantes : sexe, âge, catégorie socioprofessionnelle et région de l’interviewé(e).
Que cela soit dans le cadre de son évolution professionnelle ou de la valorisation de ses compétences, l’obtention de certification est devenue un enjeu majeur pour tout parcours professionnel. En particulier, avec l’arrivée du passeport de compétences qui sera déployé prochainement par le gouvernement…
Le passeport de compétences est un nouveau service public qui permettra à tout citoyen, tout au long de sa carrière, de valoriser ses compétences, son expérience, ses diplômes et certifications.
Les données publiées par chaque détenteur d’un passeport de compétences serviront dans le cadre de toutes ses démarches personnelles de recherche d’emploi ou d’orientation. Cet outil permettra à chacun de mesurer ses compétences acquises, et d’identifier des opportunités de métiers ou de formation, en mesurant l’écart entre ses acquis et ses aspirations personnelles.
Il sera lancé en 2023 et sera connecté au compte personnel de formation. A ce sujet, si vous n’avez pas encore créé votre compte, rendez-vous sur www.moncompteformation.gouv.fr. (Source : travail-emploi.gouv.fr)
En parallèle, afin de valider les données, les organismes détenteurs de certifications et de diplômes doivent communiquer les données des personnes ayant obtenu le diplôme ou la certification. Ainsi aucune falsification n’est possible. En tant que certificateur c’est ce que nous faisons pour valoriser l’obtention de nos certifications notamment notre certification “Développer son activité avec le webmarketing (RS5210)”.
Depuis 2018, nous travaillons sur la reconnaissance de notre certification “Développer son activité avec le webmarketing” sur le marché du travail.
A ce jour, 1750 personnes ont obtenu la certification et se servent des compétences pour développer la visibilité de leur entreprise sur Internet.
Ces compétences autour du webmarketing améliorent grandement l’employabilité. De la définition de sa stratégie webmarketing au déploiement des différents leviers digitaux (référencement, réseaux sociaux, emailing, publicité…) en passant par l’analyse des résultats des actions marketing… Ces compétences ont permis à de nombreuses personnes de développer leur entreprise.
Exemple avec Vanessa qui a suivi le parcours certifiant :
“Avant la formation, je sentais qu’il fallait que mes connaissances soient mises à jour, car dans le domaine du web, tout évolue très vite ! Après la formation, j’ai l’impression d’avoir à ma disposition une boîte à outils qui me permet désormais de mieux déployer ma stratégie webmarketing. Je vais mettre en pratique ce que j’ai appris en veillant à ce que les contenus de mon site internet correspondent aux bonnes pratiques du référencement naturel. Je vais aussi pouvoir déployer les campagnes de Google Adwords en ayant fait une recherche de mots clés au préalable. Je vais continuer à développer une stratégie social média cohérente.” Plus de témoignages en suivant ce lien.
Le magazine Le Point a également mis en avant nos certifications, lisez leur article : Formation certifiante au webmarketing : une compétence digitale au profit de la stratégie commerciale.
En bref, la certification a une vraie valeur sur le marché du travail 🙂
Une cinquantaine d’organismes de formation vous préparent à la certification. Tous ont été minutieusement sélectionnés par nos soins 😉
Selon les organismes, vous pouvez suivre la formation à distance ou en présentiel. Tous les parcours durent au minimum 35H.
Parmi les organismes, vous pouvez retrouver notamment : 26 Academy, Allokom, Bright Formation, Créactifs, Eloce, France Formation Groupe, Formadigit, Inkrea Formations, Senza, Ulule, Visiplus, Voltee et bien d’autres. Je vous invite à aller sur la fiche France Compétences qui liste l’ensemble des organismes habilités.
Si vous souhaitez passer la certification, vérifiez toujours que l’organisme que vous avez sélectionné est bien habilité à préparer à notre certification en regardant sur France Compétences (ou en nous demandant).
Et bien sûr, vous pouvez également vous rendre sur notre page formation webmarketing certifiante pour être mis en relation avec l’un de nos partenaires.
A noter que nous disposons de deux autres certifications :
Sachez également que nous travaillons depuis quelques mois sur deux nouvelles certifications, une en matière de référencement naturel et une autre en matière de community management. Nous vous tiendrons informé lorsqu’elles seront en place 🙂
Lancer une campagne publicitaire sur Google Ads peut être chronophage ou trop complexe si vous n’avez pas beaucoup d’expérience dans le domaine. C’est là que l’IA (Intelligence Artificielle) peut intervenir pour vous aider. Les outils d’IA sont de plus en plus populaires sur le marché pour aider les utilisateurs à lancer des campagnes publicitaires efficaces sur Google Ads. Ces outils offrent une assistance virtuelle pour la gestion des campagnes, en fournissant des suggestions et des conseils pour optimiser les résultats…
Dans cet article, nous allons explorer les avantages de l’utilisation de l’IA pour lancer des campagnes publicitaires sur Google Ads. Nous allons également présenter les différents outils d’IA proposés sur le marché pour aider les utilisateurs à lancer des campagnes publicitaires efficaces, ainsi que des conseils pour choisir le meilleur outil en fonction de vos objectifs.
L’IA offre de nombreux avantages pour les campagnes publicitaires, en particulier pour Google Ads. Voici quelques-uns des avantages les plus importants :
Il existe de nombreux outils d’IA sur le marché pour aider à lancer des campagnes publicitaires efficaces sur Google Ads. Voici quelques-uns des outils les plus populaires :
Il est important de noter que chaque outil d’IA a ses propres avantages et inconvénients. Il est donc important de choisir l’outil qui convient le mieux à vos besoins spécifiques.
Maintenant que vous avez une idée des différents outils d’IA disponibles sur le marché, il est temps de choisir celui qui convient le mieux à vos besoins.
Voici quelques critères à considérer lors de la sélection :
En résumé, il existe de nombreux outils d’IA sur le marché pour aider à lancer des campagnes publicitaires efficaces sur Google Ads.
Il est important de choisir l’outil qui convient le mieux à vos besoins spécifiques en considérant des critères tels que la simplicité d’utilisation, les fonctionnalités offertes, le coût et la réputation de l’outil.
Prêt à classer votre site internet en tête du SERP ? Si vous souhaitez mettre à jour votre stratégie SEO, vous êtes au bon endroit…
L’algorithme de Google utilise des centaines de points de données pour décider quelles pages se classent dans quelle position. Ces facteurs de classement évoluent constamment à mesure que le moteur de recherche modifie son algorithme pour fournir les résultats recherchés par les internautes. Vous le découvrirez d’ailleurs dans cette formation certifiante en référencement naturel, pour apprendre à mettre en place une stratégie SEO efficace adaptée à votre cible et vos objectifs marketing.
Il n’y a donc pas de liste officielle des facteurs de classement Google. Mais nous nous sommes basés sur les signaux que Google utilise pour classer les sites en conséquence, ainsi que sur diverses sources, études et rapports pour mettre en évidence tout ce que vous devez savoir pour augmenter votre classement.
Dans cet esprit, cet article analyse 9 des facteurs de classement Google les plus importants qui comptent en 2023.
Il n’y a pas de règle empirique claire concernant le nombre de mots optimal pour un article puisqu’il varie selon le sujet. Cependant, nous remarquons qu’un contenu plus long et plus complet obtient généralement des classements plus élevés. Une étude de Neil Patel révèle une corrélation entre la longueur du contenu et les meilleures positions de recherche Google.
Pour aller encore plus loin, utilisez la recherche sémantique de Google pour optimiser le ciblage par mots-clés dans vos articles. Les requêtes sémantiques peuvent être trouvées en parcourant les résultats de « recherche associée » au bas de la page de résultats de recherche Google.
Alors que le nombre de mots seul semble désormais hors de propos, la « profondeur » de votre contenu – dans quelle mesure votre contenu répond à la requête du chercheur – peut affecter votre classement. D’ailleurs, Le guide Search Central de Google conseille de créer un contenu complet, qui couvre tous les points qu’un chercheur peut rechercher lorsqu’il tape cette requête.
Les backlinks sont sans doute le facteur le plus important qui influence directement votre classement. Ils sont à la base du PageRank, qui est au cœur de l’algorithme de classement de Google. Bien que PageRank lui-même n’ait pas été mis à jour depuis plusieurs années, Google a confirmé bien après cette dernière mise à jour qu’il l’utilisait toujours.
D’ailleurs, Backlinko a constaté que le « résultat numéro un de Google a 3,8 fois plus de backlinks que ceux des positions deux à dix ».
Les backlinks aident en effet Google à évaluer votre autorité et ils aident également les autres internautes à trouver votre contenu. En plus de créer un contenu de haute qualité, vous devez également mettre en place une stratégie de création de liens bien pensée, qualitative et non quantitative, à partir de sites de haute qualité et de grande autorité.
Un autre facteur de classement crucial pour Google est la correspondance de votre contenu avec l’intention de recherche d’un utilisateur. L’intention de recherche est simplement un terme qui décrit ce que l’utilisateur essaie d’accomplir avec une recherche.
Ont-ils l’intention d’acheter quelque chose pour résoudre un problème ou un besoin ? Veulent-ils apprendre à faire une tâche ? Ou cherchent-ils uniquement des informations pour mieux comprendre un sujet ?
Chaque chercheur est différent et vous devez comprendre le pourquoi d’une requête de recherche afin que votre contenu y réponde correctement.
Par exemple, si quelqu’un recherche une formation certifiante en webmarketing, les meilleurs résultats sont principalement des listes. Les auteurs, et Google, pensent que ces utilisateurs veulent comparer et probablement suivre la meilleure formation en marketing digital.
Ainsi, en faisant correspondre votre contenu à l’intention de recherche, vous pouvez répondre aux questions de votre cible et créer le contenu qu’elle recherche le plus.
Google a toujours essayé de donner la priorité à l’expérience utilisateur avant tout, d’où son investissement dans des milliers de centres de données à travers le monde afin de pouvoir fournir des résultats de recherche en quelques millisecondes. En effet, en mai 2021, Google a intégré la vitesse de chargement du site Web dans ses Core Web Vitals.
Pour respecter une norme minimale pour le temps de chargement des pages, vous pouvez essayer ces conseils simples et accélérer les performances de votre site web.
L’algorithme Google Freshness est un véritable changeur de jeu. L’algorithme a été initialement déployé en juin 2010 et a eu un impact puissant au fil des ans. Si vous êtes un grand éditeur avec beaucoup d’anciens contenus qui ne sont pas classés, la mise à jour d’anciens articles peut avoir un impact énorme sur votre stratégie SEO !
L’algorithme de fraîcheur semble se mettre à jour beaucoup plus rapidement que les autres algorithmes de base mis à jour par Google.
Si vous souhaitez toucher des visiteurs en 2023, votre site doit être facile à naviguer sur les téléphones mobiles et les tablettes. Auparavant, la norme était la «convivialité mobile», mais Google est passé à un monde axé sur le mobile , ce qui signifie qu’il s’attend à ce que les visiteurs mobiles soient la cible principale de votre conception Web.
Auparavant, Google utilisait la version de bureau de votre site Web pour l’indexation. Mais avec plus de 4,2 milliards d’utilisateurs d’Internet mobile dans le monde, il n’est pas surprenant que Google accorde beaucoup d’importance aux sites web adaptés aux mobiles.
Depuis que Google a donné la priorité à la recherche mobile en 2019, il est essentiel que votre site Web soit réactif sur n’importe quelle taille d’écran. Mobile-first signifie que Google utilisera désormais la version mobile de votre site Web pour l’indexation et le classement.
Cela a été annoncé pour la première fois en août 2014 sur le blog officiel de Google Webmaster Central :
« La sécurité est une priorité absolue pour Google. Nous investissons beaucoup pour nous assurer que nos services utilisent une sécurité de pointe, comme un cryptage HTTPS fort par défaut. Cela signifie que les personnes utilisant la recherche, Gmail et Google Drive, par exemple, disposent automatiquement d’une connexion sécurisée à Google. »
Depuis le 17 octobre 2017, Google met en garde les webmasters contre l’utilisation du protocole HTTP avec les sites où les utilisateurs sont tenus de saisir des données. Il s’agit d’un protocole qui crypte les données transmises entre un navigateur et un site Web. Google a confirmé qu’il s’agit d’un signal de classement léger. Mais si vous n’êtes pas encore passé de http à https, c’est le moment de le faire !
La sécurité de votre domaine est liée à votre fiabilité – l’un des principaux contributeurs à la notation EAT et aux principaux facteurs que Google utilise pour classer votre contenu. Google ne souhaite pas envoyer ses utilisateurs vers un site qui pourrait ne pas protéger leurs données ou être autrement dangereux.
Vous avez un site e-commerce ? Pensez au certificat SS.
En revanche, il s’agit désormais d’une option supplémentaire pour les sites plus généraux qui collectent tout type de données utilisateur. Dans tous les cas, ajouter une sécurité de domaine supplémentaire de votre fournisseur de domaine est toujours bienvenu. La protection DDoS et CDN, ainsi que les outils qui recherchent les anomalies SMTP, sont une excellente idée !
L’un des facteurs de classement les plus connus depuis plusieurs années est l’utilisation de mots-clés sur les sites Web, qui doit correspondre aux termes de recherche saisis par les utilisateurs dans les moteurs de recherche. Il est donc important que vos pages Web contiennent les mots-clés recherchés par votre public, en plus de correspondre à leur intention de recherche. De cette façon, Google peut faire apparaître votre page dans ses résultats de recherche.
Pour vous assurer que votre site Web est optimisé pour les mots clés, suivez ces conseils :
Auparavant gratuite pour les comptes vérifiés, la coche bleue disparaitra sur Twitter… sauf sur les comptes payants. Dépêchez-vous (ou pas), vous n’avez plus que quelques jours pour vous préparer…
En mars dernier, Twitter avait annoncé qu’il mettrait fin à son programme de vérification à partir du 1er avril 2023.
Comme beaucoup de délais promis par Elon Musk, PDG de Twitter, la date est passée et rien ne s’est passé. Mais si cette décision n’a pas encore été mise en œuvre, elle le sera très bientôt ! Elon Musk a en effet déclaré mercredi que les coches bleues seraient supprimées le 20 avril 2023. Et il s’agit de la « date finale ».
Final date for removing legacy Blue checks is 4/20— Elon Musk (@elonmusk) April 11, 2023
Plus tôt dans la journée, Musk a accordé une interview à la BBC lors d’une session Twitter Spaces. Interrogé sur l’impact de la suppression des marques de vérification sur la propagation de la désinformation, Musk a déclaré :
« Je pense que les médias sont un moteur de désinformation bien plus qu’ils ne voudraient l’admettre. »
Malgré les réactions négatives des anciens utilisateurs de coches bleues, le nouveau PDG de Twitter pense qu’il est grand temps de mettre fin à ce système. Pour rappel, ces coches aident les utilisateurs à distinguer les comptes officiels et authentiques d’hommes politiques, de personnalités célèbres, de journalistes et d’autres personnalités publiques des milliers de pages de fans portant le même nom.
Eh bien, le retour en arrière de Musk signifie qu’ils peuvent profiter de leur vérification gratuite jusqu’au 20 avril, mais devront payer le service « Twitter Blue » de la plateforme pour conserver la coche bleue après cette date butoir.
Twitter a effectivement invité les utilisateurs à s’inscrire à Twitter Blue, et les organisations à conserver leurs coches via le système dédié aux « organisations vérifiées ».
Bien que le programme soit incroyablement impopulaire et rencontre déjà une résistance en Inde, la décision de facturer les coches bleus est une tentative claire de générer des revenus à partir de sa base d’utilisateurs.
Lorsque Stephen King par exemple avait exprimé son opposition au paiement d’une coche bleue, Musk a répondu par une boutade : « Nous devons payer les factures d’une manière ou d’une autre ! »
Musk avait annoncé en novembre de l’année dernière que le site facturerait 8 dollars par mois pour vérifier les comptes des utilisateurs.
Autre grand changement, le mois dernier, Musk a déclaré que Twitter cesserait de recommander des comptes non vérifiés sur sa chronologie algorithmique « For You » à partir du 15 avril.
Récemment, la société a modifié l’étiquette affichée lorsque quelqu’un appuie sur la marque de vérification en « Ce compte est vérifié, car il est abonné à Twitter Blue ou est un ancien compte vérifié ». Depuis, les utilisateurs ont du mal à faire la différence entre les abonnés Twitter Blue et les anciens comptes vérifiés…
Rappelons que Twitter Blue permet aux abonnés d’accéder à plusieurs fonctionnalités exclusives comme :
Pendant ce temps, certaines fonctionnalités qui étaient depuis longtemps disponibles sur la version gratuite de Twitter – comme le vote dans les sondages et l’authentification à deux facteurs par SMS – deviennent bientôt ou sont devenues exclusives à Twitter Blue.
Musk a également déployé de nouvelles coches dorées et grises pour indiquer respectivement les entreprises et les organismes gouvernementaux vérifiés, et leur facture 1000 £ par mois.
Les coches bleues peuvent être souscrites pour 8 $ à 10 $ par mois pour les utilisateurs Twitter ayant déjà des comptes authentiques. Cependant, l’abonnement au service ne garantit pas la vérification. Une fois qu’un utilisateur a fait une demande de vérification, une équipe examinera le compte pour déterminer s’il est admissible ou pas…
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